



Dès l’arrivée, le regard est attiré par les 4 tours massives à poivrière qui se dressent aux angles du château. La puissante forteresse de granit, édifiée au 11e siècle, puis remodelée, a assuré la défense des frontières de la Bretagne. Dans la Tour du Chat, se trouve la chambre d’enfant de Châteaubriant. Un cadre propice à la contemplation ! Du chemin de ronde crénelé, de très belles vues s’ouvrent sur le parc, le lac et la cité.
Aux pieds des murailles, le bourg s’élargit, débordant les limites du quartier inchangé de l’ancien prieuré. Sa vocation commerciale, avec le tissage de la toile et le tannage du cuir, le dote de maisons à pans de bois. L’arrivée du chemin de fer change le visage de la ville. Différentes époques se tutoient en faisant cohabiter des demeures du 16e siècle, la maison dite « de la Lanterne » et des façades remodelées du 19e et 20e siècle.
L’esprit de Chateaubriand imprègne les pierres et les ruelles de la ville. De l’église aux rives du lac, en s’attardant au château, un sentier rejoint les promenades du maître du romantisme. Aux détours d’un perron ouvragé, d’un parc ou d’un colombage, les références littéraires ressurgissent, montrant combien la littérature se nourrit de la beauté conjointe de la nature et de l’architecture.
L’esprit de Chateaubriand imprègne les pierres et les ruelles de la ville.
Une légende raconte que la tour du Chat, où Chateaubriand avait sa chambre, était hantée par un ancien seigneur des lieux, qui se transformait en chat noir.
Office de Tourisme de Combourg